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Un' educazione milanese


Titre en français : Une éducation milanaise
Auteur :
Rollo, Alberto

italien

Nombre de pages : 317
Dimensions : 14.4 x 20.3 x 2.2 cm
Éditeur : Manni
Date d'édition : 2016-10

prix TTC :
21,95 €
Réf.9788862667401

Description

"Je cherche des ponts dans lesquels la désorientation et le sentiment d'être à la maison coïncident. Et sur ces ponts finissent par apparaître, tendres et méridiens, les fantômes qui me ramènent là où j’ai commencé et où cette ville a commencé pour moi. "C’est une reconnaissance autobiographique et c’est l’histoire de la ville inspiré. Vous entrez dans l'histoire des années cinquante: enfance dans les nouvelles banlieues, avec les "leçons de culture ouvrière" paternelles, les digressions maternelles sur la magie du travail vestimentaire, les familles communiste et catholique, les ancêtres Lombard et Lecce, les promenades en tramway, en moto, la mort de John F. Kennedy et celle du pape John, Rocco et ses frères, l’oratoire, le cinéma, les jeux, les amitiés adolescentes et les premiers amours entre objets à vide et clôtures. Et nous procédons avec la secousse de la jeunesse, à côté de notre ami l'enseignant de la vie et des visions, en arrière-plan les grandes luttes ouvrières, la vitalité des groupes extra-parlementaires, le creuset social onirique d'une génération qui voulait "des yeux différents". Cette formation mêle la perception d'aujourd'hui, l'assèchement de la ville industrielle, les projets urbains du Grand Milan, les transformations de l'horizon, le triomphe de la capitale de la mode et des archistars. Un roman autobiographique écrit magistralement, le regard tendu de la vision: l'histoire d'une ville, d'une génération.

“Cerco ponti in cui lo spaesamento e il sentirmi a casa coincidano. E su quei ponti finiscono con l’apparire, teneri e meridiani, i fantasmi che mi riconducono là dove io sono cominciato e dove è cominciata, per me, questa città.” Questa è una ricognizione autobiografica ed è il racconto della città che l’ha ispirata. Si entra nella storia dagli anni Cinquanta: l’infanzia nei nuovi quartieri periferici, con le paterne “lezioni di cultura operaia”, le materne divagazioni sulla magia del lavoro sartoriale, la famiglia comunista e quella cattolica, le ascendenze lombarde e quelle leccesi, le gite in tram, le gite in moto, la morte di John F. Kennedy e quella di papa Giovanni, Rocco e i suoi fratelli, l’oratorio, il cinema, i giochi, le amicizie adolescenziali e i primi amori fra scali merci e recinti incustoditi. E si procede con lo scatto della giovinezza, accanto l’amico maestro di vita e di visioni, sullo sfondo le grandi lotte operaie, la vitalità dei gruppi extraparlamentari, il sognante melting pot sociale di una generazione che voleva “occhi diversi”. A questa formazione si mescola la percezione dell’oggi, il prosciugamento della città industriale, i progetti urbanistici per una Grande Milano, le trasformazioni dello skyline, il trionfo della capitale della moda e degli archistar. Un romanzo autobiografico magistralmente scritto, lo sguardo teso della visione: la storia di una città, di una generazione.