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A Sibila


Titre en français : La Sibylle
Auteur :
Bessa-Luís, Agustina

portugais

Nombre de pages : 268
Dimensions : 151 x 231 x 18 mm
Éditeur : Relógio D'Água
Date d'édition : 2017-07

prix TTC :
29,95 €
Réf.9789896417475

Description

Dans le nord du Portugal, ce sont les femmes qui, devant l'indolence et les rêves d'évasion que nourrissent les hommes, assurent le lourd héritage des travaux de la terre. C'est vrai en particulier vers la fin du XIXe siècle, lorsque la propriété à l'abandon doit être prise en charge par Joaquina Augusta-Quina, une adolescente frêle et inculte, mais qui participe aux plus rudes tâches de la campagne aux côtés des ouvriers, tandis que sa sœur et ses frères se préparent à échapper au milieu rural. La lucidité de Quina, rusée et chicaneuse, et son sens de la répartie lui valent ce surnom de sibylle sous lequel elle ne tarde pas à être connue et admise dans la bonne société, où l'on admire cette paysanne. Resté célibataire, endurcie par la lutte, haïe et admirée par le membres de sa famille, une passion étrange l'unit sur le tard à un enfant qui grandira sous sa protection. Un admirable portrait de femme, le premier chef-d'œuvre d'Agustina Bessa-Luis.

A Sibila é um romance de Agustina Bessa-Luís. Sibila, que remete para a figura clássica da Sibila de Delfos, significa adivinha e refere-se à personagem Joaquina Teixeira, a Quina. O livro não se atreve a narrar a história do nascimento à morte da protagonista, mas conta a vida de duas gerações anteriores da família Teixeira e duma posterior e ainda de outras famílias e amigos próximos desta. Narra conspirações, corrupções e intrigas de parentes, criados, amigos e inimigos. De passagem ocorrem críticas à burguesia rural, mas no romance avulta sobretudo uma reflexão sobre a dimensão metafísica do ser humano. Quina não tinha poderes sobrenaturais, era apenas atilada e prática conselheira; ninguém da sua igualha a tratava por sibila. Morreu velha e doente, mas orgulhosa da casa que salvara da falência e da fortuna que amealhara. A história começa e termina com Germa, sua sobrinha, filha do irmão Abel, que representa uma geração já urbana, desenraizada dum espaço a que Quina sempre se sentira presa.