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Le tatoueur d'Auschwitz est basé sur l'histoire vraie de Lale et Gita Sokolov, deux juifs slovaques, qui ont survécu à Auschwitz et ont finalement élu domicile en Australie. Dans ce lieu terrible, Lale a été chargée de tatouer les prisonniers marqués pour leur survie - écrivant littéralement des chiffres sur ses camarades victimes ?? bras à l’encre indélébile pour créer ce qui deviendrait l’un des symboles les plus puissants de l’Holocauste. Lale a utilisé l'infiniment infime liberté de mouvement que cette position lui accordait pour échanger des bijoux et de l'argent pris contre des Juifs assassinés contre de la nourriture afin de maintenir les autres en vie. S'il avait été attrapé, il aurait été tué; beaucoup lui devaient leur survie.
Il y a eu beaucoup de livres sur l'Holocauste et il y en aura beaucoup d'autres. Ce qui rend celui-ci si mémorable, c’est l’incroyable zeste de vie de Lale Sokolov. Il comprenait parfaitement ce qui l'attendait, ainsi que ses compagnons de captivité, et il était déterminé à survivre, pas seulement à survivre, mais à quitter le camp avec sa dignité et son intégrité intacte et à vivre pleinement sa vie. Si terrible que soit cette histoire, c’est aussi une histoire d’espoir et de courage. C'est aussi «presque incroyablement» une histoire d'amour. Une jeune fille attendait en ligne d'être tatouée, terrifiée et tremblante. Pour Lale, un dandy, un valet, un brin de chancelier, c’était le coup de foudre et il était déterminé non seulement à survivre, mais aussi à s’assurer que Gita le survivait. Son histoire - leur histoire - vous fera pleurer, mais vous la trouverez aussi exaltante. Il montre le meilleur de l'humanité dans les pires circonstances.
Comme beaucoup de survivants, Lale et Gita ont raconté leur histoire à peu de gens après la guerre. Ils se sont finalement rendus en Australie, où ils ont élevé un fils et ont eu une vie réussie. Mais à la mort de Gita, Lale a estimé qu'il ne pouvait plus supporter seul le fardeau de leur passé. Il a choisi de raconter son histoire.
The Tattooist of Auschwitz is based on the true story of Lale and Gita Sokolov, two Slovakian Jews, who survived Auschwitz and eventually made their home in Australia. In that terrible place, Lale was given the job of tattooing the prisoners marked for survivalliterally scratching numbers into his fellow victims arms in indelible ink to create what would become one of the most potent symbols of the Holocaust. Lale used the infinitesimal freedom of movement that this position awarded him to exchange jewels and money taken from murdered Jews for food to keep others alive. If he had been caught he would have been killed; many owed him their survival.
There have been many books about the Holocaustand there will be many more. What makes this one so memorable is Lale Sokolovs incredible zest for life. He understood exactly what was in store for him and his fellow prisoners and he was determined to survivenot just to survive, but to leave the camp with his dignity and integrity intact, to live his life to the full. Terrible though this story is, it is also a story of hope and of courage. It is alsoalmost unbelievablya love story. Waiting in line to be tattooed, terrified and shaking, was a young girl. For Lalea dandy, a jack-the-lad, a bit of a chancerit was love at first sight and he determined not only to survive himself, but to ensure that Gita did, too. His storytheir storywill make you weep, but you will also find it uplifting. It shows the very best of humanity in the very worst of circumstances.
Like many survivors, Lale and Gita told few people their story after the war. They eventually made their way to Australia, where they raised a son and had a successful life. But when Gita died, Lale felt he could no longer carry the burden of their past alone. He chose to tell his story.