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I grandi romanzi (Il piacere - L'innocente - Trionfo della morte - Il fuoco)


Auteur :
D'Annunzio, Gabriele

italien

Nombre de pages : 1056
Éditeur : Newton Compton
Date d'édition : 2019-06

prix TTC :
13,50 €
Réf.9788822722638

Description

Avec "Il piacere", publié en 1889, commence peut-être le roman italien moderne: avec l'aristocratique Andrea Sperelli, "tout imprégné d'art", avide de plaisir, le décadentisme de D'Annunzio contraste avec le vérisme de Capuana et de Verga. Dans "L'innocente" (1892), le protagoniste Tullio Hermil raconte l'histoire d'un adultère impénitent qui, s'approchant à nouveau de sa femme, découvre qu'elle porte dans son ventre le fruit d'une seule trahison. La haine envers cette créature innocente, qui représente la rupture de son rêve cruel "d'être constamment infidèle à une femme constamment fidèle", le mènera au meurtre. Un autre personnage décadent est le Giorgio Aurispa de "Trionfo della Morte" (1894), un noble héréditaire qui tente de faire de sa vie une oeuvre d'art mais il n'arrive pas à se débarrasser du mal de vivre qui le conduira au suicide. "Il fuoco" (1900), enfin, a la sensuelle Venise comme décor de l'amour entre le poète Stelio Efrena et l'actrice Foscarina: une relation qui rappelle celle entre Vate et Eleonora Duse. Essai d'introduction de Giovanni Antonucci et Gianni Oliva

Con "Il piacere", pubblicato nel 1889, ha forse inizio il moderno romanzo italiano: con l'aristocratico Andrea Sperelli, "tuto impregnato d'arte", avido di piacere, il decadentismo dannunziano si contrappone frontalmente al verismo di Capuana e Verga. Ne "L'innocente" (1892), il protagonista Tullio Hermil racconta la propria storia di adultero impenitente che, riavvicinatosi alla moglie, scopre che lei ha in grembo il frutto di un unico tradimento. L'odio verso questa innocente creatura, che rappresenta l'infrangersi del suo crudele sogno di "essere costantemente infedele a una donna costantemente fedele", lo porterà all'assassinio. Altro personaggio decadente è il Giorgio Aurispa di "Trionfo della morte" (1894), nobile ereditario che tenta di fare della propria vita un'opera d'arte ma non riesce a liberarsi del male di vivere, che lo porterà al suicidio. "Il fuoco" (1900), infine, ha una sensuale Venezia come scenario dell'amore tra il poeta Stelio Efrena e l'attrice Foscarina: una relazione che ricorda quella tra il Vate ed Eleonora Duse. Saggio introduttivo di Giovanni Antonucci e Gianni Oliva.