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Rayuela


Titre en français : Marelle
Auteur :
Cortázar, Julio

espagnol

Nombre de pages : 700
Dimensions : 20,4 x 13,2 x 6,1 cm
Éditeur : RAE
Date d'édition : 2019-03

prix TTC :
19,50 €
Réf.9788420437484

Description

«Marelle est une sorte de capitale, un de ces livres du XXᵉ siècle auquel on retourne plus étonné encore que d'y être allé, comme à Venise. Ses personnages entre ciel et terre, exposés aux résonances des marées, ne labourent ni ne sèment ni ne vendangent : ils voyagent pour découvrir les extrémités du monde et ce monde étant notre vie c'est autour de nous qu'ils naviguent. Tout bouge dans son reflet romanesque, la fiction se change en quête, le roman en essai, un trait de sagesse zen en fou rire, le héros, Horacio Oliveira, en son double, Traveler, l'un à Paris, l'autre à Buenos Aires.Le jazz, les amis, l'amour fou - d'une femme, la Sibylle, en une autre, la même, Talita -, la poésie sauveront-ils Oliveira de l'échec du monde ? Peut-être... car Marelle offre plusieurs entrées et sorties. Un mode d'emploi nous suggère de choisir entre une lecture suivie, "rouleau chinois" qui se déroulera devant nous, et une seconde, active, où en sautant de case en case nous accomplirons une autre circumnavigation extraordinaire. Le maître de ce jeu est Morelli, l'écrivain dont Julio Cortázar est le double. Il cherche à ne rien trahir en écrivant et c'est pourquoi il commence à délivrer la prose de ses vieillesses, à "désécrire" comme il dit. D'une jeunesse et d'une liberté inconnues, Marelle nous porte presque simultanément au paradis où on peut se reposer et en enfer où tout recommence.»
Florence Delay.

«Contranovela», «crónica de una locura», «el agujero negro de un enorme embudo», «un feroz sacudón por las solapas», «un grito de alerta», «una especie de bomba atómica», «una llamada al desorden necesario», «una gigantesca humorada», «un balbuceo».

Con estas y otras expresiones se aludió a Rayuela tras su aparición en 1963. Sin duda, la publicación de la novela conmocionó el panorama cultural de su tiempo y supuso una verdadera revolución en la narrativa en lengua castellana: por primera vez un escritor llevaba hasta las últimas consecuencias la voluntad de transgredir el orden tradicional de una historia y el lenguaje para contarla.

Plena de ambición literaria y vital, renovadora de las herramientas narrativas, destructora de lo establecido y buscadora de la raíz de la poesía, es quizás el libro donde Cortázar está entero, con toda su complejidad ética y estética, con su imaginación y su humor. Y, transcurridas más de 5 décadas desde su primera publicación, Rayuela sigue siendo leída con curiosidad, asombro, interés y devoción.

Cortázar empieza por proponer un acercamiento activo al libro y ofrece varias posibilidades de lectura: el lector ha de decidir: ¿optar por el orden de lectura tradicional?, ¿seguir el tablero de dirección?, ¿remitirse al azar? Después lo lleva a dos lugares distintos «Del lado de allá», París, la relación de Oliveira y la Maga, el club de la serpiente, el primer descenso de Horacio a los infiernos; y «Del lado de acá», Buenos Aires, el encuentro de Tráveler y Talita, el circo, el manicomio, el segundo descenso.

¿Viaje hacia delante?, ¿viaje hacia atrás? Viaje iniciático, sin duda, del que el lector emerge tal vez con otra idea acerca del modo de leer los libros y de ver la vida. Un mosaico donde toda una época se vio maravillosamente reflejada.