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Los niños perdidos


Titre en français : Les enfants disparus
Auteur :
Ripoll, Laila

espagnol

Nombre de pages : 119
Dimensions : 11.8 x 1.5 x 16.4 cm
Thème : Classique,Histoire
Éditeur : KRK,KRK EDICIONES,KRK Ediciones
Date d'édition : 2010-12

prix TTC :
11,95 €
Réf.9788483672884

Description

"Dans ce pays, il y a eu une dictature, et une dictature féroce, pendant longtemps, qui plus tard aurait pu être plus ou moins douce, mais les vingt premières années ont été quelque chose de terrible et c'est ce là... Et je ne Je ne sais pas pourquoi Pourquoi y a-t-il des gens déterminés à ne pas vouloir en parler..." Laila Ripoll ne se limite pas à faire des déclarations aussi catégoriques ; Il en parle dans cet ouvrage. Dans ces moments de justification de la mémoire historique, son travail réfléchit sur ce qui s'est passé et ils ont refusé de nous le dire. Le scénario choisi pour dénoncer les violences envers les plus faibles est le grenier d'un orphelinat dans lequel quatre enfants sont enfermés. Ils y vivent leurs peurs, leurs carences affectives, leur impuissance et leur perte d'identité. L'enfermement auquel sont soumis les protagonistes suscite une réflexion sur ce qui s'est passé dans l'Espagne d'après-guerre, plongée dans la répression et la faim, les responsabilités des différents groupes dans les événements survenus, la nécessité de remplir le devoir moral d'identifier et d'enterrer rituellement les morts et la confiance dans le pouvoir régénérateur des jeunes générations.

"En este país ha habido una dictadura, y una dictadura feroz, durante mucho tiempo, que luego ya pudo ser más o menos suave, pero los primeros veinte años fueron algo tremendo y es que eso está ahí... Y yo no sé por qué hay gente empeñada en no querer hablar de ello..." Laila Ripoll no se limita a hacer declaraciones tan tajantes; de ello habla en esta obra. En estos momentos de reivindicación de la memoria histórica, su obra reflexiona sobre lo que ocurrió y se negaron a contarnos. El escenario elegido para denunciar la violencia sobre los más débiles es el desván de un orfanato en el que cuatro niños se encuentran encerrados. Allí viven sus miedos, sus carencias afectivas, su desamparo y su pérdida de identidad. El encierro al que se ven sometidos los protagonistas provoca la reflexión sobre lo que ocurrió en la España de la posguerra, sumida en la represión y el hambre, las responsabilidades de los distintos colectivos en los hechos ocurridos, la necesidad de cumplir el deber moral de identificar y enterrar ritualmente a los muertos y la confianza en el poder regenerador de las jóvenes generaciones.