Placide vit paisiblement avec ses livres, sa géographie urbaine, la place Saint-Sulpice et la rue des Canettes, Élodie et le comptoir de Madame Paulette. Et soudain il croise une femme, une voix, un ton comminatoire : « Écris, il y va de ta vie ». Des prédicateurs qui n’éclairent rien, un téléphone sans voix qui n’en perd pas un mot, une maturation difficile, Placide se trouve obligé de prendre sa plume d’oie, et de jeter sur le papier, à haute voix, le récit de sa vie. Non sans difficultés, le doute s’installe. Qui est-elle ? Pourquoi écrire ? Qu’attend-elle de lui ? Il va poursuivre, d’autant que Madame Paulette, divinatoire, lui interdit l’accès au comptoir jusqu’à l’achèvement de ses mémoires.

Placide vive apaciblemente con sus libros, su geografía urbana, la plaza Saint-Sulpice y la rué des Canettes, Élodie y la barra de Madame Paulette. De pronto se cruza con una mujer, una voz, un tono conminatorio : « Escribe, te va la vida en ello ». Entre predicadores que no aclaran nada, un teléfono sin voz que no se pierde ni una sola palabra, una maduración difícil, Placide se ve obligado a coger la pluma de oca y verter sobre el papel, en voz alta, el relato de su vida. Con muchas dificultades, la duda se instala. ¿Quién es ella ? ¿Por qué escribir ? ¿Qué espera de él ? Seguriá adelante, sobre todo porque Madame Paulette, visionaria, le prohíbe el acceso a la barra hasta que acabe sus memorias.