"Tous ceux qui ont été assassinés, et je suis toujours sans justice." Il faut du courage pour partir, mais parfois il en faut encore plus au retour. Nous sommes en juillet 1940, l’Italie est en guerre. Ricciardi, inquiet pour sa fille Marta et sa belle-famille, qui courent un grave danger en raison de leurs origines juives, a déménagé avec sa famille à Fortino, sa ville natale. Là, dans les lieux de son enfance, il espérait retrouver un peu de calme. Au lieu de cela, tandis qu'en ville le fidèle brigadier Maione tente de sauver un ami commun d'une mort certaine, dans les montagnes du Cilento, le commissaire se retrouve confronté à un passé qu'il aurait aimé oublier. Pour lui, et pas seulement pour lui, le moment est venu de régler ses comptes avec sa propre histoire. Après tout, c’est presque toujours le sort de ceux qui reviennent. Couverture souple.

«Tutti quei morti ammazzati, e io ancora senza giustizia». Serve coraggio quando si parte, ma a volte ne serve ancora di più quando si torna. È il luglio del 1940, l’Italia è in guerra. Ricciardi – preoccupato per la figlia Marta e per i suoceri, in grave pericolo a causa delle origini ebraiche – ha ormai trasferito la famiglia a Fortino, il paese dove è nato. Lì, nei luoghi dell’infanzia, sperava di avere un po’ di quiete. Invece, mentre in città il fido brigadiere Maione cerca di salvare un comune amico da morte certa, tra le montagne del Cilento il commissario è messo faccia a faccia con un passato che avrebbe voluto scordare. Per lui, e non solo per lui, è arrivato il momento di regolare i conti con la propria storia. Del resto è questo, quasi sempre, il destino di chi torna.