LAURÉAT DU PRIX PULITZER DE LA FICTION ET DU NATIONAL BOOK CRITICS CIRCLE AWARD. UN CHOIX DU CLUB DE LECTURE D'OPRAH. En 1956, vers la fin de sa vie, le révérend John Ames commence une lettre à son jeune fils : « Je t'ai dit hier soir que je pourrais m'absenter un jour… Tu as tendu la main, posé tes doigts sur mes lèvres et m'as lancé ce regard que je n'ai jamais vu de ma vie sur aucun autre visage que celui de ta mère. C'est une sorte de fierté furieuse, très passionnée et sévère. Je suis toujours un peu surpris de constater que mes sourcils sont intacts après avoir essuyé un de ces regards. » « Ils me manqueront. » « Une œuvre visionnaire d'une originalité éblouissante » ROBERT MCCRUM, OBSERVER « Une écriture de cette qualité, avec une autorité aussi naturelle que l'oreille absolue en musique, est rare et comporte presque un sentiment de danger » JANE SHILLING, DAILY TELEGRAPH « Un beau roman : sage, tendre et parfaitement mesuré » SARAH WATERS « Un chef-d'œuvre » SUNDAY TIMES

WINNER OF THE PULITZER PRIZE FOR FICTION and THE NATIONAL BOOK CRITICS CIRCLE AWARD. AN OPRAH'S BOOK CLUB PICK. In 1956, towards the end of Reverend John Ames's life, he begins a letter to his young son: 'I told you last night that I might be gone sometime... You reached up and put your fingers on my lips and gave me that look I never in my life saw on any other face besides your mother's. It's a kind of furious pride, very passionate and stern. I'm always a little surprised to find my eyebrows unsinged after I've suffered one of those looks. I will miss them.'' A visionary work of dazzling originality' ROBERT MCCRUM, OBSERVER 'Writing of this quality, with an authority as unforced as the perfect pitch in music, is rare and carries with it a sense almost of danger' JANE SHILLING, DAILY TELEGRAPH' A beautiful novel: wise, tender and perfectly measured' SARAH WATERS' A masterpiece' SUNDAY TIMES