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Fiori per i Bastardi di Pizzofalcone


Titre en français : Fleurs pour les bâtards de Pizzofalcone
Auteur :
De Giovanni, Maurizio

italien

Nombre de pages : 272
Dimensions : 13.6 x 2 x 21.5 cm
Éditeur : Einaudi
Date d'édition : 2020-12

prix TTC :
25,50 €
Réf.9788806237226

Description

C'est un splendide matin de printemps, la ville est illuminée par une lumière parfaite, dans l'air l'odeur de la mer se mêle à l'odeur de la glycine, du genêt, de l'anémone. De la rose. Comment peut-on penser à tuer quelqu'un un jour comme celui-ci, dans un endroit comme celui-ci? Savio Niola, propriétaire d'un kiosque à fleurs historique, a été tué. Un crime qui dérange Pizzofalcone, car le vieil homme était aimé de tout le monde dans le quartier. Ils le considéraient comme une sorte de «grand-père civique» qui, n'ayant pas de famille à lui, faisait de son mieux pour celles des autres. Il a aidé les jeunes en les poussant à étudier, en essayant de les éloigner des routes sans retour; quiconque s'approchait de lui pouvait compter sur un mot aimable, un peu d'attention, le cas échéant, un soutien matériel. Pourtant, il a été littéralement massacré. Qui peut avoir tant de haine, tant de colère dans son corps pour faire un tel geste? Peu de temps auparavant, l'homme s'était exposé contre le racket qui éteint les commerçants de la région, mais la piste du crime organisé ne convainc pas les Bâtards, aux prises à nouveau face à une affaire difficile dont dépend peut-être le sort du commissariat. Un poste de police qui, pour eux, est désormais bien plus qu'un lieu de travail. Quant à Savio, c'était son kiosque.

È una splendida mattina di primavera, la città è illuminata da una luce perfetta, nell'aria l'odore del mare si mescola al profumo del glicine, della ginestra, dell'anemone. Della rosa. Come può venire in mente di uccidere qualcuno in un giorno come questo, in un posto come questo? Savio Niola, proprietario di uno storico chiosco di fiori, è stato ammazzato. Un delitto che sconvolge Pizzofalcone, perché l'anziano era amato da tutti nel quartiere. Lo consideravano una specie di «nonno civico», che non avendo una famiglia propria si prodigava per quelle degli altri. Aiutava i giovani spingendoli a studiare, cercando di tenerli lontani da strade senza ritorno; chiunque si rivolgesse a lui poteva contare su una parola gentile, su un po' di attenzione, se necessario su un sostegno materiale. Eppure è stato letteralmente massacrato. Chi può avere tanto odio, tanta rabbia in corpo da compiere un gesto simile? Poco tempo prima l'uomo si era esposto contro il racket che taglieggia i commercianti della zona, ma la pista della criminalità organizzata non convince i Bastardi, ancora una volta alle prese con un caso difficile da cui, forse, dipendono le sorti del commissariato. Un commissariato che, per loro, è ormai molto più di un luogo di lavoro. Come per Savio era il suo chiosco.