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Capitalism and the Limits of Desire


Titre en français : Le capitalisme et les limites du désir
Auteur :
Roberts, John

anglais

Nombre de pages : 288
Dimensions : 13.8 x 21.6 cm
Éditeur : Bloomsbury Academic
Date d'édition : 2021-09

prix TTC :
29,95 €
Réf.9781350214958

Description

Aborder la question sempiternelle de Spinoza : « pourquoi les masses se battent-elles pour leur servitude comme si c'était le salut ? Le capitalisme et les limites du désir examine les façons dont l'amour de soi s'est mêlé à l'amour du capitalisme. Avec l'austérité et la misère en cours pour tant de personnes, pourquoi le capitalisme semble-t-il si insurmontable, si impossible à dépasser ? John Roberts offre une réponse scandaleuse et intrigante : c'est parce que nous aimons le capitalisme plus que nous-mêmes. Le capitalisme sous forme de marchandises, et, plus important encore, les plateformes en ligne à travers lesquelles nous nous exprimons, est devenu tellement de qui nous sommes, de la façon dont nous nous aimons qu'il est difficile de nous imaginer en dehors de cela. Roberts soutient qu'il est possible de se dégager de cet effondrement de soi dans le capitalisme et que comprendre la nature insidieuse de la pensée capitaliste même lorsqu'il s'agit de nos désirs les plus profonds est le point de départ. En utilisant Marx, Lacan et Spinoza comme guides, Roberts propose aux individus un moyen d'aller de l'avant et de se forger un sentiment de soi en dehors des exigences oppressives du capitalisme de plate-forme.

Addressing Spinoza's perennial question: "why do the masses fight for their servitude as if it was salvation?" Capitalism and the Limits of Desire examines the ways in which self-love has become intertwined with a love of capitalism. With ongoing austerity and misery for so many, why does capitalism seem to be so insurmountable, so impossible to move beyond? John Roberts offers a scandalous and intriguing response: It is because we love capitalism more than we love ourselves. Capitalism in the form of commodities, and, more importantly, the online platforms through which we express ourselves, has become so much of who we are, of how we love ourselves that it is difficult to imagine ourselves outside of it. Roberts contends that disentangling ourselves from this collapsing of self into capitalism is possible and that understanding the insidious nature of capitalist thinking even when it comes to our deepest desires is the starting point. Using Marx, Lacan and Spinoza as his guides, Roberts lays out a way for individuals to move forward and forge a sense of self outside the oppressive demands of platform capitalism.