Une série d'études de cas qui examinent comment les gens peuvent s'adapter au changement climatique. À travers dix chapitres captivants et magnifiquement illustrés, Morgan Phillips raconte des histoires d'adaptation des trottoirs climatisés de Doha et des chameaux sauvages d'Australie, aux « chambres fraîches » de Paris et aux « attrapeurs de brouillard » du Maroc. Ce sont les histoires moins racontées de l'adaptation au changement climatique bonne, mauvaise, moche et très moche - elles seront les inspirations pour les adaptations positives de l'avenir ; et les avertissements des mal-adaptations qui doivent être évités. Great Adaptations est un appel à l'action, il insiste sur le besoin d'adaptations écologiquement réparatrices et socialement justes. Il examine comment l'adaptation est encadrée, défait la notion contestée d'adaptation profonde, explore le potentiel de l'adaptation transformatrice et remet en question la légitimité des « histoires rassurantes » qui dominent encore le discours climatique dominant. Il est conversationnel, provocateur, engageant et visuellement saisissant - un objet tactile, de poche et très partageable.

A series of case studies that look at how people can adapt to climate change. Across ten captivating and beautifully illustrated chapters, Morgan Phillips recounts stories of adaptation from the air-conditioned pavements of Doha and the feral camels of Australia, to the ‘cool rooms’ of Paris and the ‘fog catchers’ of Morocco. These are the lesser-told stories of good, bad, ugly and very ugly adaptation to climate change – they will be the inspirations for the positive adaptations of the future; and the forewarnings of the mal-adaptations that must be avoided. Great Adaptations is a call to action, it presses home the need for adaptations that are ecologically restorative and socially just. It examines how adaptation is framed, unpicks the contested notion of Deep Adaptation, explores the potential of Transformative Adaptation, and questions the legitimacy of the ‘reassuring stories’ that still dominate mainstream climate discourse. It is conversational, provocative, engaging and visually arresting – a tactile, pocket-sized and very shareable object.