Un jour, tout a basculé. Les gens ont quitté leurs maisons, essayant d'emporter tout ce qu'ils pouvaient avec eux : leurs souvenirs et les clés de leur maison. Mais ils ne pouvaient pas emporter les arbres ; ils ne portaient que leur parfum dans leur cœur. En 1948, la Palestine était occupée et son peuple chercha refuge dans diverses régions du monde. Cependant, ceux qui furent déplacés de force des villes et villages palestiniens en portèrent un souvenir impérissable. Chaque jour qui passe, les personnes âgées pensent à leurs foyers et en parlent à leurs petits-enfants, transmettant ainsi leur rêve de retour de génération en génération. Ce livre soulève un problème humanitaire poignant : l’occupation d’une terre, le déplacement de ses habitants, et incarne la résistance à l’occupation. La détermination à persévérer est symbolisée par la huppe, qui s’obstinait à préserver les orangeraies de son pays, à en récolter les graines et à les disperser sur le sol. Le récit met également en lumière la figure remarquable de Ghassan Kanafani, qui a profondément marqué la littérature palestinienne.

qalim (almualafi) 'alisandira 'amurilluw ta> tamat altarjamat biwasitat tarjamat : 'amani yusuf wadhat yawmi, taghayar hqqan kulu shay', ghadar alnaas manazilahum, hawaluu haml ma yastatieun maeahum, hamaluu maeahum dhakiratahum wamafatih biutihim.. lakinahum lam ytmkknu min haml al'ashjari, faqat hamaluu rayihataha fi qulubihim.